Il est en constante évolution, tout comme le castor l'indigène construit son nid douillet par adjonctions successives de matériaux qu'il récupère et assemble selon son humeur du moment. A l'approche des frimas il stocke aux alentours les éléments de ses futures constructions. Puis à la belle saison (celle des amours) il agrandit sa tanière par adjonction de nouvelles verrues. A la St Jean il brûle le surplus, ce qui donne lieu à des bacchanales où il se livre au rut de façon endiablée.
L'Habitat au MAS PAILLASSE